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Une très longue carrière avec quelques très igrands rôles qui resteront dans l’Histoire du 7ème Art!Encore un décès...
- korrigan
- Marabout Flash
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Re: Encore un décès...
C’est pas Donald ?
Il est vrai que la dernière bolée de cidre est souvent la bolée de trop !
- aristide hergé
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Re: Encore un décès...
Donald Sutherland, notamment connu pour avoir joué le rôle du dictateur dans la saga "Hunger Games", est décédé à l'âge de 88 ans, a annoncé son fils, ce jeudi 20 juin.
"C'est avec le cœur lourd que je vous annonce le décès de mon père", a annoncé sur X le Canado-britannique, lui aussi comédien, en saluant "l'un des acteurs les plus importants de l'histoire du cinéma".
En plus de 50 ans de carrière et quelque 200 films, Donald Sutherland s'est imposé comme un acteur caméléon, capable d'incarner aussi bien de grands méchants du cinéma, des antihéros ou des personnages romantiques.
Le Canadien avait reçu un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 2017.
"Il n'a jamais été intimidé par un rôle, qu'il soit bon, mauvais ou laid", a ajouté son fils. "Il aimait ce qu'il faisait et faisait ce qu'il aimait, et on ne peut rien demander de plus. Une vie bien vécue."
Après avoir joué dans des séries britanniques cultes comme "Chapeau Melon et Bottes de Cuir", Donald Sutherland avait obtenu son premier grand rôle en 1967 dans "Les Douze Salopards", avec Charles Bronson.
Sa silhouette longiligne, son air absent et ses sourires énigmatiques lui assurent alors charisme et singularité.
Parmi ses autres succès, on compte notamment la farce antimilitariste "M.A.S.H" (1970) et le thriller "Klute" (1971) où il incarne un détective privé à la recherche d'un tueur pervers qui menace une call-girl jouée par Jane Fonda.
Fellini lui a également confié le rôle de "Casanova" en 1977.
Plus récemment, il s'était distingué en président Coriolanus Snow, le dictateur cruel de Panem, tourmenteur de Jennifer Lawrence dans "Hunger Games".
"C'est avec le cœur lourd que je vous annonce le décès de mon père", a annoncé sur X le Canado-britannique, lui aussi comédien, en saluant "l'un des acteurs les plus importants de l'histoire du cinéma".
En plus de 50 ans de carrière et quelque 200 films, Donald Sutherland s'est imposé comme un acteur caméléon, capable d'incarner aussi bien de grands méchants du cinéma, des antihéros ou des personnages romantiques.
Le Canadien avait reçu un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière en 2017.
"Il n'a jamais été intimidé par un rôle, qu'il soit bon, mauvais ou laid", a ajouté son fils. "Il aimait ce qu'il faisait et faisait ce qu'il aimait, et on ne peut rien demander de plus. Une vie bien vécue."
Après avoir joué dans des séries britanniques cultes comme "Chapeau Melon et Bottes de Cuir", Donald Sutherland avait obtenu son premier grand rôle en 1967 dans "Les Douze Salopards", avec Charles Bronson.
Sa silhouette longiligne, son air absent et ses sourires énigmatiques lui assurent alors charisme et singularité.
Parmi ses autres succès, on compte notamment la farce antimilitariste "M.A.S.H" (1970) et le thriller "Klute" (1971) où il incarne un détective privé à la recherche d'un tueur pervers qui menace une call-girl jouée par Jane Fonda.
Fellini lui a également confié le rôle de "Casanova" en 1977.
Plus récemment, il s'était distingué en président Coriolanus Snow, le dictateur cruel de Panem, tourmenteur de Jennifer Lawrence dans "Hunger Games".
"Le patriotisme, c'est d'abord l'amour des siens. Le nationalisme, c'est d'abord la haine des autres" (Romain Gary)
- Guy Bonnardeaux
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Re: Encore un décès...
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Re: Encore un décès...
Donald, qui est aussi, c'est moins connu, dans le clip de "Cloudbusting", de la génialissime Kate Bush, qu'on se le dise !
Re: Encore un décès...
Un ftres grand acteur quitte la scène !
Je l’ai beaucoup aimé dans le film Space Cowboy aux côtés de Tommy Lee Jones, James Garner et Clint Eastwood qui réalisait ce long-métrage .
Je l’ai beaucoup aimé dans le film Space Cowboy aux côtés de Tommy Lee Jones, James Garner et Clint Eastwood qui réalisait ce long-métrage .
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Re: Encore un décès...
Un bon acteur que j'aimais bien. Je l'avais encore vu il y a 2-3 mois dans L'Invasion des profanateurs
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con
https://www.flickr.com/photos/gildays/
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- aristide hergé
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Re: Encore un décès...
Et perso j'ai gardé un très bon souvenir de ce film
"Le patriotisme, c'est d'abord l'amour des siens. Le nationalisme, c'est d'abord la haine des autres" (Romain Gary)
Re: Encore un décès...
Décès de Raphël Géminiani à l'âge de 99 ans.
Les plus anciens d'entre nous ont sans doute connu et admiré ce coureur de légende, vainqueur de 7 étapes du tour de France (dont il sera 2ème au général en 1951 et 3ème en 58 et meilleur grimpeur en 51) et Champion de France en 1953. Il a porté le maillot jaune sur la Grande Boucle et le maillot rose sur le Giro à une époque où brillaient Gaul, Koblet, Bobet...Sa reconversion au poste de directeur sportif fut une totale réussite
"Le Grand Fusil" (son surnom dans les pelotons) était à la fois un immense grimpeur mais aussi un baroudeur qui n'avait peur de rien. La richesse de sa carrière ne se traduit pas seulement à travers son palmarès. Il fut surtout le rival puis l'allié de Louison Bobet mais aussi l'équipier de Fausto Coppi puis le directeur sportif historique de Jacques Anquetil, Jean Stablinski, Lucien Aimar, Rudi Altig et d'Eddy Merckx sur sa fin de carrière.
Raphaël Géminiani a traversé les époques avec classe et était le digne représentant de ceux que l'on nommait avec un certain respect les "forçats de la route" au temps du Tour de France en noir et blanc.
Au travers de sa formidable carrière de coureur puis de directeur sportif, il a participé de fort belle manière à la Légende du sport cycliste
Les plus anciens d'entre nous ont sans doute connu et admiré ce coureur de légende, vainqueur de 7 étapes du tour de France (dont il sera 2ème au général en 1951 et 3ème en 58 et meilleur grimpeur en 51) et Champion de France en 1953. Il a porté le maillot jaune sur la Grande Boucle et le maillot rose sur le Giro à une époque où brillaient Gaul, Koblet, Bobet...Sa reconversion au poste de directeur sportif fut une totale réussite
"Le Grand Fusil" (son surnom dans les pelotons) était à la fois un immense grimpeur mais aussi un baroudeur qui n'avait peur de rien. La richesse de sa carrière ne se traduit pas seulement à travers son palmarès. Il fut surtout le rival puis l'allié de Louison Bobet mais aussi l'équipier de Fausto Coppi puis le directeur sportif historique de Jacques Anquetil, Jean Stablinski, Lucien Aimar, Rudi Altig et d'Eddy Merckx sur sa fin de carrière.
Raphaël Géminiani a traversé les époques avec classe et était le digne représentant de ceux que l'on nommait avec un certain respect les "forçats de la route" au temps du Tour de France en noir et blanc.
Au travers de sa formidable carrière de coureur puis de directeur sportif, il a participé de fort belle manière à la Légende du sport cycliste